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L’ARTISTE INDÉPENDANT
Oui. Angèle, Daft Punk, Etienne de Crécy, PNL, IAM, Stromae, C2C, Fauve… Les artistes sont aujourd’hui nombreux à choisir de créer un label indépendant et à devenir auto-entrepreneur de leur art. C’est d’abord sur le sol américain que cette culture de l’industrie musicale est apparue, elle s’est importée ensuite en Europe. De plus en plus d’artistes choisissent d’être les acteurs principaux de leurs succès et donc d'être totalement responsables de leurs actions. Même si les risques sont plus grands, cette vision de la liberté séduit chaque année de nouveaux artistes qui font le choix de l’indépendance.
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L’ARTISTE AUX FRONTIÈRES DE PLUSIEURS DISCIPLINES
L'accès à la création s’est tellement démocratisé qu'il n'y a plus de frontières étanches entre les différentes disciplines. De nombreux artistes sont autant musiciens que réalisateurs, ou autant réalisateurs qu’acteurs. Tout cela est symptomatique de la disparition d’une époque et de la naissance d’une nouvelle ère. Des musiciens comme Rihanna, Grand Corps Malade, Orelsan ou Camélia Jordana, gravitent autour de plusieurs pôles artistiques tels que la mode et la musique, et ce mouvement est amené à prendre encore de l’ampleur.
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L’ARTISTE SOUHAITE PLUS DE LIBERTÉ
Il ne faut pas se leurrer. Les artistes ont toujours souhaité avoir plus de liberté déjà par nature, car un art qui ne s’exerce pas dans la liberté devient un pur produit commercial et perd sa dimension artistique. Cette envie de liberté vient aussi du fait que l’industrie musicale a été révolutionnée. Auparavant, le producteur et l’artiste tiraient leurs revenus de la mise en vente d’un album et le bénéfice direct était le même, que celui-ci soit écouté 1 000 fois ou 10. Aujourd’hui les choses ont changé car les artistes touchent des sources de revenus évolutives, liées au nombre d’écoutes (streaming). Cette nouvelle technologie a transformé l’environnement sur lequel le public et la musique se rencontraient. La réalité virtuelle instaurée sur les réseaux sociaux a elle-aussi transformé le niveau de communication qui existe entre le public et les artistes. Cette conscience d’une plus grande proximité a fait souffler un air de liberté sur la scène musicale, un air qui n’est pas prêt de s’arrêter.
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COMMENT MAJI VOUS ACCOMPAGNES ?
MAJI laisse aux artistes la liberté de gérer comme ils le souhaitent leur activité. Nous proposons des services individuels, les mêmes qui m’aident à gérer ma propre carrière de chanteuse. MAJI propose des prestations de service. Vous contrôlez l’ensemble de votre situation, et vous restez les seuls décisionnaires depuis la prise de contact jusqu’à la validation de la mission. Nous vous aiderons lors des différentes étapes de votre carrière :
- Création/Édition de contrat
- Coaching
- Médiation/Résolution de litiges
- Étude/Note juridique
- Marketing d’image
- Stratégie d’implémentation auprès des salles de vos partenaires (salle de concert, galeries, marques, influenceurs…).
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MAJI, ÇA VEUT DIRE QUOI ?
L'argot expressif "Maji" est devenu populaire parmi les jeunes, mais en fait cette expression argotique existe depuis la période Edo et était couramment utilisée.
Le mot provient de l'adjectif [真面目] qui signifie sérieux et honnête. Ce mot a commencé à être utilisé comme langage parmi les artistes des coulisses du théâtre et de l'industrie. Le mot "Majide" qui exprime le sérieux et la sincérité, a fini par devenir l'adverbe que nous connaissons "Maji".
Avec la popularisation des délinquants japonais Yankii, l'expression "Maji Daze" a fini par se répandre, principalement dans les animes et mangas de l'époque.
Maji peut être écrit en Hiragana [まじ] ou en Katakana [マジ]. En tant qu'argot parlé isolément, cette expression finit par transmettre des idées telles que :
- Sérieusement
- Vraiment
- Ce n'est pas une blague
- Véritablement.